Assurance vie, invalidité, maladies graves, prêt, carte de crédit, pour enfant… et j’en passe : toute notre vie, on entend parler d’assurance et on s’en fait offrir à toutes les sauces. Il devient tellement difficile de s’y retrouver que certains mythes réussissent à s’accrocher. En voici cinq parmi les principaux.
1. Personne ne compte sur mon revenu, alors je n’en ai pas besoin.
Les protections d’assurance vie, invalidité et contre les maladies graves sont conçues pour vous aider à compenser une perte de revenu, conserver un certain niveau de vie et rembourser des dettes.
Vous avez un fonds d’urgence suffisant pour couvrir vos besoins jusqu’à l’âge de 65 ans sans travailler et vous n’avez aucune personne à charge? Vous êtes l’un des chanceux qui n’ont peut-être pas besoin d’assurance.
Dans le cas contraire, seule une analyse exhaustive de vos besoins réalisée par un conseiller en assurance vous permettra d’avoir l’heure juste.
2. J’ai déjà une bonne assurance collective au travail
La valeur des protections offertes au travail varie généralement entre un et deux fois celle de votre salaire. Il est donc effectivement possible que votre couverture collective soit suffisante pour couvrir vos besoins de base, pour autant que vous demeuriez à l’emploi de l’entreprise.
Si, toutefois, vous avez des projets tels que fonder une famille, vous lancer en affaires ou investir dans l’immobilier, par exemple, votre couverture collective pourrait ne plus être adéquate.
Vous avez des projets de la sorte? Prenez quelques minutes pour discuter (gratuitement) avec un conseiller en assurance indépendant pourrait vous éviter bien des soucis.
3. Les protections se ressemblent d’un assureur à l’autre
Contrairement à l’assurance auto et habitation, l’assurance vie, invalidité et maladies graves sont des produits qui doivent être personnalisés de façon stratégique. Il en existe une myriade de déclinaisons (assurance vie temporaire, permanente, universelle, avec valeur de rachat, hypothécaire, etc.) et une mauvaise compréhension de leurs spécificités peut avoir de lourdes conséquences.
Prenons le cas de l’assurance vie hypothécaire. Saviez-vous que l’assurance souscrite auprès d’un prêteur aura comme résultat d’assurer uniquement le montant de l’hypothèque qui lui est due advenant un décès? En d’autres mots, si vous payez les primes pour un montant assuré de 400 000 $ et qu’il ne reste qu’un solde de 150 000 $ à votre décès, 250 000 $ glisseront entre les doigts de vos héritiers.
4. J’ai peu de chance de devenir invalide, car mon emploi n’est pas demandant physiquement.
Dans les faits, les statistiques démontrent plutôt que la majorité des cas d’invalidité sont liés à la maladie plutôt qu’aux blessures.
D’ailleurs, selon le Centre for Addiction and Mental Health (CAMH) de Toronto, 30 % des demandes de prestations d’invalidité au Canada en 2020 étaient liées à des problèmes de santé mentale tels que la dépression, l’anxiété et le surmenage.
5. Il est dispendieux de s’assurer
Acheter le petit bidule qui vous fait envie sur le Net est clairement plus excitant que de débourser pour de l’assurance, assurément.
Cependant, un conseiller indépendant comme ceux de Vigilis possède la liberté nécessaire pour magasiner vos protections auprès de plus d’un assureur, preuves à l’appui. Vous bénéficierez ainsi de la combinaison de protection la mieux adaptée à votre situation et ce, au meilleur coût possible.
Par ailleurs, la rémunération des conseillers de Vigilis ne comporte aucune commission ni boni lié à un produit ou un assureur quelconque, et nos recommandations ne tiennent compte que de vos besoins.